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|   | Re: Re : Re: Re : [onem] BDD Onem | 00144 | 
| Dans un e-mail daté du 26/03/2005 09:38:56 Paris, Madrid, fatonjm@xxxxxxx a 
écrit : Dans un e-mail daté du 25/03/05 23:16:03, agnes.seb@xxxx a écrit : C'est typiquement la crainte énoncée par les naturalistes. - Soit on trouve un garde fou pour répondre à cette crainte, > Revendre des données n'a aucun sens, aucune utilité, sinon fournir à 
des structures qui ne savent pas se les construire, des informations, qu'ils 
pourraient s'approprier (d'autant plus qu'ils les auraient achetées), les 
interpréter à leur gré, faire parfois n'importe quoi. S'il s'agit de 
vendre, et personnellement je dirais faire financer afin de développer 
les moyens de la structures fournisseur, il est important de ne fournir en 
général aucune donnée, mais simplement des analyses et synthèses d'informations 
disponibles sur un site, en dégageant l'importance, les enjeux et les nécessités 
d'actions et préservation. Je tends à considérer que de tels rapportsdoivent 
être diffusés, non seulement au demandeur qui en catalyse la 
rédaction par son financement, mais aussi à diverses structures concernées, 
voire dans certains cas accompagnés d'une communication publique de la version 
complète ou d'une version digérée. La notion de rapport confidentiel n'est guère 
souhaitable dans diverses situations.  L'argent est alors le nerf du développement de la structure 
"protectrice". La structure "protectrice" doit l'utiliser pour mieux fonctionner et 
rebondir en soignant sa communication, profiter de la situation pour valoriser 
et faire connaître la nécessité de préservation d'un site. Je sais, c'est plus difficile d'écrire un rapport ou un dossier que de 
cliquez sur une requête d'une base et d'en extraire des données brutes. 
 > Ils détruisent déjà la nature quand ils ne savent pas et là nous 
pourions nous blâmer, aussi quand ils savent, ici nous pouvons les blâmer... 
mais si on vend des données brutes, ils peuvent savoir et ne pas comprendre, ils 
n'ont alors pas de véritable négligeance, parfois de la mauvaise fois, des 
erreurs de compréhension, mais l'esprit plus libre, la négligeance 
viendrait alors de notre part à ne pas communiquer correctement, il est alors 
difficile de blâmer la mauvaise fois, alors que la négligeance est alors de 
notre part dans la fourniture d'un travail tronqué de sa substance 
explicative. Bonnes bases.... 
 Cyrille 
Deliry Président du GRPLS (president@xxxx) http://www.sympetrum.org Nouvelle adresse postale : GRPLS, Chalet 37, village des pêcheurs, 38390 Montalieu- Ne plus rien transmettre à Morestel !!! | 
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